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Jeunesse

Hindou Ibrahim, SDG Advocate and Indigenous Rights Activist

Il y a trente ans, le Sommet de la Terre, qui se déroulait à Rio de Janeiro, ouvrait la voie à l'établissement de trois conventions majeures sur l'environnement - en particulier sur la biodiversité, le changement climatique et la désertification. Alors que les pays se réunissent sur les trois conventions en 2022, Hindou Ibrahim, et militante des droits des autochtones, parle du rôle indispensable que jouent les communautés autochtones du monde entier dans la protection de la vie sur notre planète - sa biodiversité, ses terres et son climat.

Le Sommet mondial de la jeunesse Generation Connect (du 2 au 4 juin 2022, à Kigali au Rwanda) portera sur la fracture numérique et sur d’autres thèmes connexes, notamment les compétences numériques, l’égalité hommes-femmes, les changements climatiques, la sécurité en ligne, l’avenir du travail, l’entrepreneuriat et la dépendance à l’égard du numérique.

La militante du climat Ashley Lashley dirige un mouvement appelé la campagne HEY (Healthy and Environment-friendly Youth), dans le cadre duquel elle travaille avec des jeunes dans les Caraïbes pour contribuer à favoriser des modes de vie durables et à comprendre les effets du changement climatique sur notre santé, et sur celle de notre planète.

OMPI a lancé aujourd’hui une nouvelle initiative – le – destinée à former la prochaine génération de dirigeants dans le domaine de la propriété intellectuelle.

Les jeunes nous conduisent vers un monde sans peur. Ensemble, les jeunes se battent pour un monde sans pauvreté, racisme, sexisme ou discrimination contre les personnes handicapées et contre toute forme de violence, d’inégalité ou de discrimination. Pour les jeunes LGBTIQ+, plus susceptibles d’être confronté(e)s aux discriminations, il s’agit d’une lutte pour leur survie. Avec beaucoup de courage et de résilience, les jeunes personnes LGBTIQ+ œuvrent au changement, se battent pour un avenir sûr et respectueux où notre belle diversité humaine est valorisée. Ensemble, nous pouvons faire de cet avenir une réalité : avec la #JeunesseEnAvant, tout est possible !

Two girls sit in a flower field making bouquets.

Alors que la population mondiale devrait augmenter de 2 milliards de personnes au cours des 30 prochaines années, de nombreux acteurs reconnaissent qu'il ne suffit pas de produire un plus grand volume d'aliments sains de manière plus durable pour garantir le bien-être de l'homme et de la planète. D'autres défis cruciaux doivent également être relevés. Le thème de la Journée internationale de la jeunesse 2021 est « Transformer les systèmes alimentaires : les innovations des jeunes pour notre santé et celle de notre planète ». Il souligne que le succès d'un tel effort mondial ne sera pas atteint sans la participation significative des jeunes. Rejoignez le Festival de l'innovation #YouthLead et partagez vos solutions innovantes !

A young woman decorates a cake

La Journée mondiale des compétences des jeunes se déroule dans un contexte difficile : la pandémie de COVID-19 a considérablement perturbé le secteur de l'enseignement et de la formation techniques et professionnels (EFTP). Si les campagnes de vaccination sont porteuses d'espoir, l'EFTP a encore un long chemin à parcourir pour se rétablir, en particulier dans les pays qui continuent d'être submergés par la propagation de la maladie. Participez à la en ligne (15 juillet) organisée par les missions permanentes du Portugal et du Sri Lanka, ainsi que par l', l' et le Bureau de l'.

A group of joyful youth come together playfully holding signs that read peace.

Célébrée le 29 mai, la Journée internationale des Casques bleus de l’ONU rend hommage au personnel civil, policier et militaire pour sa contribution inestimable au travail de l’ONU. La Journée internationale 2021 a pour thème « La voie vers une paix durable : mobiliser le pouvoir de la jeunesse en faveur de la paix et de la sécurité ». Actuellement, des dizaines de milliers de jeunes Casques bleus (âgés de 18 à 29 ans) sont déployés à travers le monde et jouent un rôle majeur en contribuant aux missions permettant d’accomplir les activités qui leur sont confiées, y compris dans le domaine de la protection des populations civiles.

La moitié de la population mondiale a moins de 30 ans et pourtant seuls 2,6 % des parlementaires dans le monde représentent cette tranche d'âge. Prenez deux minutes pour vous associer à ! 

Ce document, bientôt disponible en français, se veut un  pour travailler « avec et pour » les jeunes lors de catastrophes naturelles, de conflits, de déplacements forcés et d'autres situations d'urgence. 

Malgré la pandémie de COVID-19, l'année 2020 fut aussi une année de progrès.  revient sur quelques-unes de ses plus belles histoires de réussite auprès des enfants l’an dernier.

 

Les  sont des sessions de jeu de rôle de la diplomatie, dans lesquelles des élèves de l’école primaire à l'université se mettent dans la peau de diplomates pour résoudre des problèmes mondiaux. Au début de l’année 2020, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés () a décidé de mettre les étudiants au défi d’aborder les questions liées aux déplacements forcés. Voici un résumé de leurs idées et réflexions novatrices !

Une mobilisation sans précédent de la jeunesse a vu le jour à l’échelle mondiale en vue d’investir dans des solutions et des actions pilotées par des jeunes pour faire face à la COVID-19. Elle est née à l’initiative des grands mouvements et organisations de jeunes, avec la collaboration de l’Organisation mondiale de la Santé () et de la Fondation pour les Nations Unies. 

Pour certains petits exploitants en particulier, la crise a été l’occasion d’utiliser de nouvelles technologies, ou de recourir davantage à celles qu'ils connaissaient déjà. Stephen Kamau, agriculteur du comté de Tharaka Nithi (Kenya), est l’un d’entre eux.

Une étude de l’Organisation internationale du Travail (OIT) indique que, depuis le début de la pandémie, plus de 70 pour cent des jeunes qui étudient ou qui combinent études et travail sont durement touchés par la fermeture des écoles, des universités et des centres de formation. La situation est encore pire pour les jeunes qui vivent dans les pays à faible revenu, où il ne leur est pas toujours facile d’avoir accès à Internet, à des équipements et, parfois, à un espace chez eux pour travailler.