UNDT/2009/015, Abboud
La «raison de croire» doit être plus qu'une simple spéculation ou suspicion: elle doit être raisonnable et donc basée sur des faits suffisamment bien fondés - bien que bien sûr, pas nécessairement prouvé - pour incliner rationnellement l'esprit du décideur à la croyance. Il est clair que la question est celle des faits et degrés dans lesquels le décideur est tenu d'agir raisonnablement mais qui implique nécessairement l'exercice du jugement. Il est inexact de désigner un tel jugement que l'exercice d'un pouvoir discrétionnaire. Si l'USG dans cette affaire avait en fait décidé qu'il y avait...